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• Bissa Gold et Taparko : vers un recouvrement forcé des revenus miniers    

Le gouvernement va procéder à un recouvrement forcé des ressources du Fonds minier de développement local. Si toutes les sociétés ont fini par contribuer à ce Fonds après une période de refus, 2 sociétés minières ont formellement écrit au ministère des Mines pour indiquer leur refus de contribuer. Le ministère en charge de l’économie est passé à l’action à travers un recouvrement forcé. Il entend contraindre ces sociétés au strict respect de la loi. Des mises en demeure ont été envoyées à ces sociétés. Si elles ne s’exécutent pas, elles courent le risque de voir leurs comptes bancaires bloqués. Il s’agit de Bissa Gold et la mine de Taparko.

• Commerce de détail :  autorisé que pour les ressortissants de la CEDEAO

L’adoption de la loi 016-2017 sur l’organisation de la concurrence au Burkina Faso recommande le commerce de gros, de demi-gros et de détail. Dans le souci de clarifier les choses et de permettre une concurrence saine entre acteurs, le ministère en charge du commerce a pris un décret d’application qui stipule que désormais, si vous n’êtes pas un ressortissant de la CEDEAO, vous ne pouvez pas faire du commerce de détail au Burkina Faso. Sauf en cas de réciprocité avec les pays partenaires dans le volet commercial. Actuellement, un travail est en train de se faire sur le terrain pour que les grossistes, les demi-grossistes et les détaillants, chacun ait son magasin. Les différentes Chancelleries au Burkina Faso ont été rencontrées et sensibilisées sur cette disposition.

• Sonatel SA crève l’écran à la Bourse

La Bourse régionale des valeurs mobilières (BRVM) a admis à sa cote ce 15 septembre 2020, l’emprunt obligataire « SONATEL 6,50% 2020 – 2027 sous le symbole SNTS.O2 dans le compartiment obligataire de la BRVM. Cet emprunt obligataire a été émis en juillet pour un montant de 100 milliards FCFA. Cette admission est considérée comme la plus importante émission obligataire privée jamais réalisée, selon l’autorité boursière. A noter que la SONATEL est la première capitalisation boursière du marché des actions de la BRVM avec plus de 1.215 milliards FCFA au 11 septembre 2020.

• Autoroute Ouagadougou- Yamoussoukro : où en est-on ?

Selon nos confrères LeFaso.net, les travaux d’« études techniques, économiques, d’impact environnemental et social » de l’autoroute Ouagadougou-Yamoussoukro, tronçon Bobo-Dioulasso/Frontière Côte d’Ivoire (CU7b) longue d’environ 200 kilomètres, assortie d’un rapport d’avant-projet sommaire, a fait l’objet de restitution le 16 septembre 2020 à Banfora. Il ressort dudit rapport que sur fonds propres, le gouvernement burkinabè a assuré le financement des études de faisabilité d’environ 333 km du tronçon autoroutier entre Ouagadougou et Bobo-Dioulasso et est en négociation avec des partenaires pour le démarrage des travaux de la première section entre Ouagadougou-Koudougou. Pour ce qui est de la partie ivoirienne, le taux d’exécution des travaux sur l’axe Yamoussoukro-Tiébissou est de 60%, avec l’appui financier de la Banque islamique de développement.

• Programme d’urgence pour le Sahel : taux d’exécution de 28,2% au 30 juin 2020

A la date du 30 juin 2020, le Programme d’urgence pour le Sahel a atteint un taux d’exécution de 28,2%, contre 35% en 2019, malgré les crises sécuritaire et sanitaire liées au terrorisme et à la COVID-19. Selon les membres du Conseil d’orientation stratégique (COS) du PUS qui ont tenu le 15 septembre 2020 leur deuxième session ordinaire 2020, cette légère contreperformance est due au contexte sécuritaire assez difficile qui a été doublé par la pandémie de COVID-19. Toute chose qui, selon eux, a entraîné un ralentissement au niveau de l’exécution des activités, que ce soit au niveau de l’administration centrale ou au niveau des collectivités. Pour ce qui est du taux de réalisation financière, il est à 20,2%, contre 28% en 2019. Ces données émanent d’un compte rendu de la Direction de la communication de la Primature du Burkina Faso. Le COS a instruit de prendre en charge ce dossier et un comité a été mis en place pour cela. Ce comité a estimé le montant de 17 milliards F CFA à payer à des entreprises qui ont réalisé des investissements dans les zones qui malheureusement, sont actuellement inaccessibles. o

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